L'article qui suit est éloquent, Ivanhoé "le sauveur de Bouchain" sur son fier destrier qui demande une entrevue et la modeste serviteur du service public qui demande rendez-vous. Qui croire?
Nous aurons la simplicité de donner notre préférence à la directrice de la CPAM qui évoque une étude pour expliquer le choix de ses services.
Si nous comprenons bien, le Maire n'a que donné son accord à la CPAM sur la proposition qui lui a été faite, il ne semble pas qu'il ait entrepris quelque démarche que ce soit, ce qui est certain c'est qu'il s'est désolidarisé de ses collègues des communes environnantes sans essayer de faire maintenir un service aux citoyens voisins de Bouchain. D'ailleurs était-il au courant du projet CPAM de réduction des permanences? il n'en a jamais fait écho.
Nous nous associons aux Maires des communes qui perdent une permanence qui permettait une démarche de proximité et déplorons que les citoyens concernés devront désormais se déplacer, s'ils le peuvent, perdant temps et argent. L'argument de 4 personnes par heure c'est à dire 1/4 d'heure par entretien n'a rien d'extravagant.
Voila la sociète nouvelle qui nous est imposée au nom des économies au mépris du citoyen.
Où est l'époque de l'aménagement du territoire?
La directrice de la CPAM ne fait qu'appliquer les directives nationales, nous sommes persuadés qu'elle même souffre de ce qui lui est imposé.
Moralité: Une fois de plus les propos du Maire sont sujets à caution!
Bien le bonjour chez-vous!
T.T.
samedi 21.01.2012, 05:36 - LaVoix du Nord
Question de point de vue
« J'ai demandé une entrevue avec le directeur de la CPAM et j'ai réussi à sauver Bouchain », nous a expliqué Jacques-Pierre Boltz lorsque nous l'avons interrogé, comme beaucoup de maires, sur la fin des permanences de la CPAM en mairie. Le chef-lieu de canton perdait certes une demi-journée par semaine en mairie, mais récupérait un temps plein au CMS. Le maire de la commune de 4 200 habitants aurait donc réussi là où Escaudain (9 000 habitants), Douchy-les-Mines (10 000 habitants, et un conseiller général, forcément plus influent) ont échoué. « Nous avons fait une étude en tenant notamment compte de la distance avec les accueils préexistents, et Bouchain nous a semblé le lieu idéal, raconte Anne-Sophie Degorre, directrice adjointe de la CPAM de Valenciennes. Nous avons donc demandé à rencontrer le maire, qui a accepté d'ouvrir un accueil sur sa commune, comme cela a été le cas pour Solesmes et Landrecies. »
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